Gelsomina a été vendue par sa mère a Zampano, qui la brutalise et ne cesse de la tromper. Ils partent ensemble sur les routes, vivant misérablement du numéro de saltimbanque de Zampano. Surgit Il Matto (le fou), violoniste et poète, qui seul sait parler à Gelsomina.
"La Strada est comme une transfiguration du néoréalisme. Tout y est quotidien, familier, parfaitement plausible. Cette histoire de saltimbanques a l'apparence d'un fait divers. Pourtant nous sommes à l'autre pôle, aux confins de l'étrange sinon du fantastique." Jean De Baroncelli – Le Monde