*Avant-premièreSortie en avant-première · NOUVELLE VAGUE

SEMAINE DU 27 AOÛT
SORTIE EN AVANT-PREMIÈRE AU LOUXOR & EN EXCLUSIVITÉ À PARIS
en complicité avec le distributeur ARP
sortie nationale prévue le 8 octobre
NOUVELLE VAGUE
De Richard Linklater
France I 2025 I 1h45
Avec Guillaume Marbeck, Zoey Deutch, Aubry Dullin
Festival de Cannes 2025 · En compétition
Ceci est l’histoire de Godard tournant « À bout de souffle », racontée dans le style et l’esprit de Godard tournant « À bout de souffle ».
" La première raison pour laquelle Linklater gagne son pari est que son geste est amoureux [...]. Amoureux mais pas dévot ni solennel. Linklater n’est pas intimidé par son sujet, notamment parce que ce n’est pas Godard seul qui l’intéresse mais sa jeunesse, sa désinvolture, son insolence parfois un peu crapuleuse, et tout ce que cela dit d’une époque et d’une manière de faire du cinéma."
Marcos Uzal - Cahiers du Cinéma
« Sans singer la modernité de Godard ni faire un biopic d’aujourd’hui sur un monde rétro, le cinéaste réussit à livrer un film sans âge, aérien, qui capte quelque chose d’insaisissable : comment les étoiles s’alignèrent pour que naisse À bout de souffle, dans une sorte de chaos savamment entretenu mais pas trop contrôlé, comme un coup de dés qui allait changer toute la donne. »
Frédéric Strauss - Télérama
À BOUT DE SOUFFLE
De Jean-Luc Godard
France I 1960 I 1h30
Avec Jean Seberg, Jean-Paul Belmondo
À bord d'une voiture volée, Michel Poicard est pris en chasse par un policier qu'il abat d’un coup de revolver. En arrivant à Paris, il se cache chez Patricia, une éudiante américaine avec qui il a connu une brève liaison amoureuse.
« Le premier Godard est d’abord un hommage aux petits polars secs importés de Hollywood. Mais l’essentiel est ailleurs : dans « le renouvellement du style cinématographique », comme on disait dans Radio-Cinéma, l’ancêtre de Télérama. « JLG », et lui seul, marqua à ce point son territoire : montage, bande-son. Ce grand coup de neuf demeure un moment de rupture. On ne cessera, ensuite, de reprocher à Godard son excès d’intelligence, alors qu’il avait su bricoler ce drôle de film, beau et (un peu) con à la fois. » François Gorin - Télérama